La chair crue qui s'illumine de Younisos
Roman — 156 pages
Vlanck s’ouvre à la vision claire et distincte de la chair.
La lumière d'une cuisse. Gros seins blancs. Le silence.
La lumière d'une cuisse. Gros seins blancs. Le silence.
Vlanck
perçoit la chair en soi, crue. Il est livré au règne de l’apparence,
éprouvant de plein fouet l’épaisseur sensible des corps, la luminosité
des peaux.
Ces
charnelles apparitions entraîneront Vlanck sur les voies de l’excès et
de la transgression, entre horreurs esthétiques et fêlure érotique. Car
l’évidence lunaire d’un gros sein illuminé fait surgir l’excès au sein
de l’évidence en soi.